TMNT Timecrash (Ext. Zombicide White Death)

Prendre le métro à New York, c’est déjà une épreuve quotidienne. Mais aujourd’hui, nos compagnons de wagon étaient… un peu plus mordants que d’habitude. Les rues étaient sens dessus dessous, la panique totale. On essayait tant bien que mal de reprendre le contrôle quand un portail surréaliste a surgi, avalant la moitié d’un immeuble.
Et devinez qui hurlait de l’autre côté ? Shredder, évidemment. Il beuglait encore un de ses plans machiavéliques — cette fois, il avait l’air de vraiment y croire.

On ne pouvait pas rester là les bras croisés. Alors on a sauté à travers le portail.
La première chose qu’on a remarquée, c’était la neige. La deuxième ? Des zombies. Partout. Et ce décor… Une cité médiévale figée dans l’hiver, comme sortie d’un vieux parchemin asiatique — sauf que, selon Maître Splinter, ce n’était pas l’Asie. Pas vraiment.
Les portails avaient relié deux mondes : notre chère New York et cette cité enneigée appelée Wintergrad. Et Shredder comptait bien en profiter. Il s’est allié aux ninjas du clan Foot et lève maintenant une armée de zombies pour envahir notre monde. Il était hors de question de le laisser faire.

Avec l'extension Timecrash, voici les Tortues Ninja, leurs alliés et leurs pires ennemis dans l’univers brutal de Zombicide: White Death.

Affrontez les zombies dans un décor médiéval-fantastique teinté de chaos dimensionnel grâce à :

• 10 Quêtes originales qui mélangent baston urbaine et affrontements moyenâgeux ;
• De nouvelles règles incluant l’usage du Chi, une énergie mystique tirée des arts martiaux ;
• Des pizzas Ultimes, parce qu’il faut bien nourrir des héros, et aussi parce que c’est génial — elles permettent d’améliorer vos armes favorites pour des combos encore plus dévastateurs ;
• De nouvelles dalles et figurines, pour enrichir vos parties ou créer vos propres scénarios mêlant ninjas, neige et morts-vivants.

Avec Timecrash, le destin de deux mondes est en jeu. Préparez vos nunchakus, aiguisez vos katanas… et gardez une part de pepperoni pour la fin. Cowabunga, baby !